j'ai peur pour le Japon. Les mots sont inutiles, je crois qu'on ressent tous la même chose et qu'on a tous les mêmes angoisses. En dehors des récupérations considérations politiques, économiques, et surtout énergétiques, ce sont les humains à qui s'adressent mes pensées. Avec des pensées particulières vers tous les hommes et femmes courageux qui travaillent sur la centrale et mettent leur vie en péril pour sauver leur pays.
Yoko, reviens
Bande son : Furyo - Ryuichi Sakamoto